PDF gratuit Le général dans son labyrinthe

PDF gratuit Le général dans son labyrinthe

Quel type de publication de divertissement que vous envisagerez votre temps d'accompagnement de voyage dans vos vacances? Est-ce que la publication de la fiction ou de la publication roman ou littéraire ou le livre de fait? Tout le monde a le goût divers pour établir que la publication agréable ou amusement pour l'examen de certains peuvent croire que celui qui pourrait amuser est le livre qui fournit le point agréable ainsi que sa fiction. Pourtant, certains découvrent aussi qu'ils vont certainement adorer la publication valide en tant que divertissement pour remplir le temps libre.

Le général dans son labyrinthe

Le général dans son labyrinthe


Le général dans son labyrinthe


PDF gratuit Le général dans son labyrinthe

Le Général Dans Son Labyrinthe . Est - ce votre temps supplémentaire? Juste que ferez - vous alors? Avoir supplémentaire ou les temps d' arrêt est tout à fait remarquable. Vous pouvez faire chaque petite chose sans pression. Eh bien, nous supposons que vous Exempter vous deux temps de lire cette publication Le Général Dans Son Labyrinthe Ceci est une publication de Dieu pour vous accompagner dans ce temps d' arrêt. Vous ne serez pas si difficile à comprendre quelque chose de cette publication Le Général Dans Son Labyrinthe beaucoup plus, il va certainement vous aider à obtenir beaucoup plus de détails et d' expérience. Aussi , vous rencontrez des emplois formidables, la lecture de cette publication Le Général Dans Son Labyrinthe comprendra certainement pas votre esprit.

Si une publication de l'auteur populaire existe, à certains lots de points de fans d'entre eux d'acquérir directement le livre. Même tout type de types de livres, mais sont-ils vraiment vérifier le livre? Qui comprend? Par conséquent, nous allons vous montrer un livre par l'auteur familier intitulé Le Général Dans Son Labyrinthe Cette publication vous fournira quelques avantages si vous lisez vraiment. La première est que vous pourriez obtenir les nouveaux mots exactement ce que nous n'avons pas connu à son sujet auparavant. On pourrait en outre stimuler la langue étrangère à la lecture de cette publication. Il y a tout.

Du guide, vous allez certainement reconnaître que la lecture est absolument devrait faire. Il vous guidera pour obtenir le temps les dépenses encore plus précieux. En consultant les guides, le temps passé ne perdrai pas mal. Vous pouvez trouver tout ce que vous voulez et doit observer. Ci-dessous, le Le Général Dans Son Labyrinthe devient une option pour vérifier le livre, car il vous offre les caractéristiques exceptionnelles de la vie. En outre, il est juste l'agent sont pour obtenir ce type de publication, vous pouvez voir comment vous pourriez apprécier exactement Guide.

Pour des raisons plus intriguant, vous pouvez inconnu en ce qui concerne le matériel de ce livre, peut-vous? Pourquoi ne pas viser à comprendre? Comprehending nouveau point provoquera concevoir beaucoup mieux la vie. Vous pouvez non seulement examiner les activités, mais l'analyse peut être un moyen de faire votre vie bien fonctionner. Par ce Le Général Dans Son Labyrinthe vous pouvez réellement l'image juste comment la vie sera et doit être.

Le général dans son labyrinthe

Détails sur le produit

Poche: 283 pages

Editeur : Le Livre de Poche (1 juin 1993)

Collection : Littérature & Documents

Langue : Français

ISBN-10: 2253063630

ISBN-13: 978-2253063636

Dimensions du produit:

18 x 1,2 x 11 cm

Moyenne des commentaires client :

4.6 étoiles sur 5

8 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

13.105 en Livres anglais et étrangers (Voir les 100 premiers en Livres anglais et étrangers)

Le Général dans son labyrinthe/ Gabriel Garcia MarquezPrix Nobel 1982« Le dernier voyage de Simon Bolivar, El Libertador » Le 8 mai 1830, le général Simon Bolivar escorté de sa suite quitte Bogota après avoir renoncé au pouvoir. Installé sur un sampan, la troupe descend le fleuve Magdalena et le Libertador de l’Amérique du Sud, celui qui a réussi à chasser les Espagnols après l’ultime bataille d’Ayacucho au Pérou en décembre 1824 livrée par son général Sucre pour la victoire finale après vingt années de guerre, revit ses faits d’armes, ses triomphes, sa gloire et aussi ses échecs. Lui qui rêvait d’unir en un seul pays les provinces libérées du joug espagnol, un territoire grand comme cinq fois l’Europe comprenant la Colombie, le Pérou, le Venezuela, l’Équateur et la Bolivie qu’il avait gouvernés d’une main ferme jusqu’alors, a échoué : chaque province a choisi son indépendance propre suite à des trahisons et des rivalités. Les Etats-Unis voyait d’un mauvais œil cette fédération et usèrent de tous les procédés pour faire échouer le dessein de Bolivar. Par la suite, Bolivar avait pour ultime ambition d’étendre la guerre vers le Sud pour réaliser le rêve fantastique de créer la nation la plus grande du monde : un seul pays, libre et uni, du Mexique au cap Horn. Bolivar pouvait être d’une rigueur inflexible et « il avait décrété la peine de mort pour tout fonctionnaire coupable de malversation ou ayant volé plus de dix pesos. En revanche, il était à ce point détaché de ses biens personnels qu’en quelques années il avait dépensé pour la Guerre d’Indépendance une grande partie de la fortune héritée de sa famille. » Dans un style flamboyant, G. G. Marquez nous offre une épopée où le voyage sans retour se mêle aux souvenirs de jeunesse : « Il s’asseyait un long moment pour méditer devant le petit pont aux planches disloquées, à l’ombre des saules inconsolables, absorbé par les courants de l’eau qu’un jour il avait comparés au destin des hommes, en une similitude rhétorique propre au précepteur de sa jeunesse, don Simon Rodriguez. » Simon Bolivar aimait les femmes et rien ne l’attirait plus que l’énigme d’une jolie femme. Sa méthode de séduction n’obéissait à aucune norme et pour lui les préambules de l’amour ne souffraient aucune erreur. Simon était « capable de jurer comme le plus déculotté des charretiers, mais la présence d’une femme suffisait pour que ses manières et son langage devinssent raffinés jusqu’à l’affectation. » Il était amateur d’amours furtives et occasionnelles. Ses espiègleries galantes étaient constamment l’objet des commérages de sa suite. Il ne se vantait jamais, mais « ses conquêtes étaient si nombreuses et si bruyantes que ses secrets d’alcôve faisait partie du domaine public. » Et parmi toutes ces femmes qu’il connut, Manuela Saenz fut la plus proche, la plus complice, la plus dévouée jusqu’à la fin, sans pour autant être toujours à ses côtés, elle qui voulait échapper à la servitude des amours régulières. Car entre Simon et Manuela, ce fut un amour de fuites perpétuelles. Alors qu’il vient de fonder la Bolivie et réorganiser le Pérou, il décide de rejoindre Santa Fe de Bogota, la capitale de la Nouvelle Grenade, entité qui regroupe les provinces de Colombie, du Venezuela, de l’Équateur et du Panama. Manuela voulant le suivre, « ce fut un déménagement de gitans, avec des malles errantes juchées sur un douzaine de mules, des esclaves immortels, onze chats, six chiens, trois singes dressés dans l’art des obscénités de palais, un ours sachant enfiler des aiguilles, et neuf cages de perroquets et de perruches qui péroraient à tort, à travers et en trois langues… » Épique ! Né en 1783 à Caracas, Simon Bolivar fut orphelin de père à trois ans, de mère à neuf ans et veuf à vingt ans huit mois après son mariage en Espagne avec une belle jeune fille de l’aristocratie créole, Maria Teresa Rodriguez. Élevé par son oncle et un précepteur, il entre en 1797 comme cadet dans la milice. Il aime la France, Bonaparte et Paris et s’y rend en 1802, puis en 1804 pour le couronnement de Napoléon auquel il assiste. Franc maçon, il est intronisé à Paris puis voyage beaucoup en Grande Bretagne, États Unis, et à partir de 1813 entreprend la croisade pour chasser les Espagnols. Après une vie mouvementée de guerres et de conflits de toutes sortes, ayant échoué pour l’unification des pays de la région, il choisi l’exil. Il meurt en décembre 1830 à San Pedro Alejandrino. Un destin hors du commun que celui de Simon Bolivar merveilleusement raconté par G.G.Marquez.

Fabuleux!. Etant moi-même un admirateur de Bolivar depuis des décennies, je déguste cet ouvrage comme on savoure un mets des plus raffinés. Je m'arrête à chaque paragraphe pour digérer dans ma tête chaque image, chaque phrase, chaque pensée. Je vais mettre un temps fou pour le finir et tant mieux. j'ai déjà pas mal de biographies sur le personnage mais ce roman ajoute un plus des plus heureux. Je l'avais lu il y a une dizaine d'années et je le relis avec un plaisir intense. Bien sûr il est mieux de connaître l'épopée auparavant sinon comme l'auteur d'une critique précédente vous risquez de le trouver un peu fouillis.

Simon Bolivar, est ici un homme vieillissant et affaibli, qui revient sur son passé glorieux et mouvementé. Il est magnifiquement décrit par Garcia Marquez, mais les noms des villes, des pays, des généraux, des traitres, des amis sont tellement mélangés, qu'il faudrait en permanence une carte, des portraits, des généalogies pour suivre avec précision et comprendre les multiples retours en arrière...C'est dommage car G.Marquez excelle toujours à faire ressentir la chaleur, qui ralentit les pensées, la nuit, les odeurs, les bains aux aromates...et le déclin de Bolivar.

livre conforme aux attentes.Réception sans problème.

Gabriel Garcia Marquez a un talent indéniable pour quitter les mythes et chercher les hommes. C'est ce qu'il fait en démystifiant Simon Bolivar et en nous montrant l'homme derrière l'animal politique, lors de ses derniers jours. Pourtant, il n'oublie pas les mythes, il en crée même certains, avec la puissance de son réalisme magique qui est la marque de fabrique de l'auteur.Mais la vie de Bolivar est tellement incroyable que certains éléments (quasi-absurdes) qu'on croit inventés par l'auteur sont en fait des réalités (comme si la vie était finalement parfois plus absurde que l'histoire). Peu importe qu'on connaisse ou non la vie de Bolivar (personnellement, pas vraiment), ce qui importe c'est le ressenti, c'est la décadence d'un homme, l'isolement du pouvoir, la perte de repères, un général (on ne trouve le nom Bolivar qu'une fois dans le livre, sinon c'est "le général") qui se confronte à ses propres contradictions, qui revit ses succès et ses échecs en descendant un fleuve (le Styx?), alternant les époques au gré des rencontres (Marquez est un spécialiste des sauts dans le temps dans ses récits, il en fait encore la preuve), comme perdu dans le labyrinthe de sa propre vie. Il ne faut pas aborder ce livre comme un roman historique, mais bien comme un pur roman.On retrouve tous les éléments que l'auteur aime distiller dans ses oeuvres: la décrépitude, la mort, le destin, le surnaturel, la chaleur étouffante et moite porteuse de maladie, l'amour, les femmes, la gloire, le pouvoir, la politique, la religion, l'humanité, la mélancolie... Tout y passe. Le général dans son labyrinthe, un des derniers romans de Marquez apparait alors comme un roman-somme qui regrouperait des éléments parsemés principalement dans Cent ans de solitude, Chronique d'une mort annoncée, l'Amour au temps du choléra et l'Automne du patriarche.Mais le livre est aussi un peu à part dans la bibliographie de Marquez en cela qu'il est très sombre, très triste, et que les éléments comiques habituels ne contrebalancent pas vraiment les éléments plus sordides. Le lecteur ne ressort pas vraiment indemne de ce livre.De la grande, très grande, littérature!

Le général dans son labyrinthe PDF
Le général dans son labyrinthe EPub
Le général dans son labyrinthe Doc
Le général dans son labyrinthe iBooks
Le général dans son labyrinthe rtf
Le général dans son labyrinthe Mobipocket
Le général dans son labyrinthe Kindle

Le général dans son labyrinthe PDF

Le général dans son labyrinthe PDF

Le général dans son labyrinthe PDF
Le général dans son labyrinthe PDF
SHARE

https://islackerz.blogspot.com/

  • Image
  • Image
  • Image
  • Image
  • Image
    Blogger Comment
    Facebook Comment

0 comments:

Post a Comment